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Séjour à Rome
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Voir Envois (193)
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Il appartient à la dernière promotion des Grand Prix de Rome, pensionnaires à la Villa Médicis. (2)
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Marié. Son épouse séjourne à la Villa Médicis. (2)
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Voir Envois (2)
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voir Envois (2)
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Elle quitte Rome avec Monsieur Girette (secrétaire de l’Académie de France à Rome) en août 1914. La pension, reprise en mai 1919 (après une période d’avant-guerre de 31 mois) devait se terminer le 30 septembre 1920. La titulaire a obtenu 3 mois de prolongation de pension.
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Il compose une Habanera, la mélodie Puisque j’ai mis ma lèvre écrite sur un poème de Victor Hugo, donnée en 1928 à l’Académie de France à Rome, et Mezzogiorno-Midi sur Rome, 1929 au Lyceum Romano.
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Il compose à Rome un oratorio, l’Apocalypse de Saint Jean.
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Il entre à la Villa Paradiso, de la date du prix jusqu’au mois de mars 1944. L’Académie est alors déplacée à Fontainebleau1.
Pensionnaire à compter du 1er janvier 1944.
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Il fait des voyages en Europe et au Moyen-Orient. Il écrit une Marche musulmane d’après des airs populaires marocains pour le Centenaire de l’Académie de France à Rome le 19 avril 1903.
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Il fait pendant le séjour les Portraits de l’Ambassadeur de France, du Pape Pie XI et de plusieurs ecclésiastiques.
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Il reçoit une commande de l’Ambassadeur de France à Rome : Monument pour l’Ossuaire du Piave (soldats français tués sur le Piave en 1918) qu’il exécute avec l’architecte Camille-Joseph Montagné.
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Il se marie pendant le séjour. Un incident sur une de ses œuvres entraîne la solidarité des autres pensionnaires (pétition). La demande d’enquête de police est refusée par l’Ambassadeur.
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Il s’engage le 10 août. Il est gravement blessé le 31 décembre 1915 en Argonne. Il est démobilisé en 1919, et revient à Rome1.
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Il va à la Villa Paradiso à Nice en 19421 puis à Oppède-le-Vieux en 1943 (refuge des artistes en zone libre : «le groupe d’Oppède»)
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Il écrit à Rome un Quatuor d’archets, une Sonate en la mineur pour violon et piano, des mélodies sur des thèmes populaires espagnols, des suites comme Dimanche basque (1907), En marge de Don Quichotte. Il est autorisé à se marier le 14 octobre 1907.
(1)
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Voir Envois
(1)
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Voir Envois
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À l’occasion du centenaire de la Villa Médicis en 1903, il est désigné pour écrire une Marche solennelle.
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Travaux «aux tons délicats de fresque. Aimable talent» d’après l’Académie des Beaux-arts. (1)
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Cornière est privé de sa pension le 25 août 1966 pour des raisons administratives. (1)
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Dispensé du service militaire en Afrique du nord, il rejoint la Villa. (1)
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«Toiles du meilleur goût, grand charme» selon l’Académie. (1)
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1ère année. (Démissionnaire).
Le pensionnaire démissionne le 1er mars 1905 pour pouvoir se marier. (1)
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Alain Louvier fait partie de la dernière promotion des Grands prix de Rome.
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Date de départ de Rome
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